Alors que le tout nouveau-né des studios Disney, en terme de live-action, s’apprête à débarquer dans les salles françaises ce mercredi (vous pourrez d’ailleurs retrouver notre critique à partir de ce même jour ici), nous avons eu l’occasion d’assister il y’a quelques semaines à la journée Press Junket du film. Retour sur un mercredi 8 mai pluvieux mais sous le signe d’un beau rêve bleu.
Il est 14h lorsqu’arrive, dans l’immense salle de conférence de l’Hotêl Le Bristol à Paris, l’équipe d’Aladdin, presque au complet. Il y’a tout d’abord le jeune et encore méconnu Mena Massoud, interprête du célèbre prince/voleur, la belle et délirante Naomi Scott qui campe ici Jasmine, Alan Menken le compositeur oscarisé à moultes reprises (La Belle et la Bête, La Petite Sirène…), le réalisateur Guy Ritchie (Sherlock Holmes 1 & 2, Le Roi Arthur : La Légende d’Excalibur…) et naturellement, celui que tout le monde attend impatiemment, celui qui d’emblée dès son arrivée instaure une ambiance décontracte, fun et spontanée : Will Smith (qui campe ici le rôle du Génie).
Tout le monde est installé, les questions commencent à être posées.
Ici, Will Smith parle du challenge de passer après la superbe interprétation de Robin Williams dans l’animé original et des difficultés de s’approprier le personnage du géni, à la fois en ne trahissant pas l’image que le public peut avoir de lui, mais également en lui apportant une petite touche de modernité.
Le jeune acteur revient sur la signification de ce rôle et d’une histoire comme celle d’Aladdin dans la culture populaire. Il s’agît de raconter les épreuves auxquelles il faut faire face lorsqu’on grandit, qu’on cherche sa place dans le monde. D’essayer de devenir la meilleure version de soi-même.
Nouvelle princesse Disney, Naomi Scott se sent honorée. Elle explique son ressenti face à la toute nouvelle chanson originale du film, « Speechless », créée par Menken. Un passage fort et émouvant qu’elle a adoré interpréter.
Lorsque la question lui est posée de savoir quelles sont les influences et inspirations qui ont été prises pour certaines séquences du film, notamment celle dans Agrabah pour le passage de la chanson et chorégraphie « Prince Ali », le réalisateur Guy Ritchie répond avec beaucoup d’intérêt que l’atmosphère de grands films bollywoodiens aura beaucoup joué ici.
La seconde partie de l’après-midi, après quelques selfies avec les comédiens pour les plus chanceux, s’est déroulée en petit comité de journalistes avec Alan Menken pour une table ronde, masterclass où le compositeur nous a joué quelques airs si fameux de la BO du film, y compris la nouvelle chanson « Speechless » dont nous vous parlions plus haut. Il est également revenu sur la genèse de certains morceaux et sur sa méthode de travailler. Un moment privilégié dont vous pouvez découvrir des extraits ci-dessous.
Aladdin est à découvrir en salles dès mercredi !
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