Twitter : #TheWolfHour @DeauvilleUS
Réalisateur : Alistair Banks Griffin
Casting : Naomi Watts, Jennifer Ehle, Emory Cohen
Durée : 1h39
Synopsis :
Juillet 1977. New York. June Leigh, ancienne romancière à succès en panne d’inspiration, est retranchée dans son appartement du Bronx. Alors que de violentes émeutes et pillages plongent la ville dans le chaos, June est harcelée par un mystérieux individu…
Deuxième film du réalisateur Alistair Banks Griffin, The Wolf Hour a du mal à être convaincant dans ce huit clos qui se veut angoissant, mais qui n’y parvient qu’à certains moments seulement.
Devenant rapidement long et peu intéressant, le film ne parvient pas à garder suffisamment de tension pour tenir sur la longueur et ce malgré une ambiance glauque et poisseuse bien faite. Néanmoins, toutes ces bonnes intentions ne parviennent pas à combler ses lacunes malgré une atmosphère oppressante et suffocante (puisque le film se passe pendant une période caniculaire) et à captiver tout du long.
Le problème ne vient pas non plus du casting, puisque Naomi Watts, même si ce n’est pas son meilleur rôle, est plutôt convaincante, tout comme le reste des comédien(ne)s.
Autre frustration du film, le réalisateur parle également d’un sérial killer : La créature de Sam (vu dans Mindhunter saison 2), il tente de jouer là-dessus afin de questionner le spectateur sur la possibilité que peut être le tueur en série s’attaquerait (ou pas) au personnage de June (Naomi Watts), mais comme la tension, cela retombe rapidement et l’idée est vite délaissée, voir oubliée.
Bref, le réalisateur ne partait pas avec une bonne idée, mais ne parvient pas à l’exploiter aussi bien qu’espère
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