Passionné de films d’art et d’essai, d’horreur, de cinéma muet des années 20, de peintre comme Hieronymus Bosh, Gustave Klimt, Salvador Dali, de vaudou, de cirque ou de foire aux monstres du début du siècle. Le travail de Sphaèros est basé sur la réflection de l’ombre et de la lumière (l’un ne pouvant exister sans l’autre), de l’au-delà
Pour cette création il s’est plongé pendant 3 ans dans son monde intérieur menant une vie quasi monastique afin de puiser l’essence même de la création afin de partager sa vision de la magie de la réalité avec le plus d’ouverture possible et sans concession.
Cet album est composé de 7 chansons.
7 chansons qui ont chacune une ambiance bien particulière et très différente l’une de l’autre.
Ceci est la force de cet album, car on a l’impression de voyager et d’être dans différents trips d’une chanson à une autre.
On passe d’une musique posée à une musique au rythme bien plus soutenu.
Mon coup de cœur revient à Lucifer que j’ai déjà écouté plusieurs fois.
La sortie du single est prévue aujourd’hui et je vous conseille fortement de vous plonger dedans !
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