Avant-dernière semaine de l’année. Bon choix et bonnes séances.
- Jumanji Bienvenue Dans La Jungle (Sony Pictures Releasing France) Suite de Jumanji (2.03M) sorti il y a plus de vingt ans. Cette fois ci, c’est Jake Kasdan à qui l’on doit dans un autre registre Bad Teacher (986.4k) et Sex Tape (531.6k).
Le destin de quatre lycéens en retenue bascule lorsqu’ils sont aspirés dans le monde de Jumanji. Après avoir découvert une vieille console contenant un jeu vidéo dont ils n’avaient jamais entendu parler, les quatre jeunes se retrouvent mystérieusement propulsés au cœur de la jungle de Jumanji, dans le corps de leurs avatars. Ils vont rapidement découvrir que l’on ne joue pas à Jumanji, c’est le jeu qui joue avec vous… Pour revenir dans le monde réel, il va leur falloir affronter les pires dangers et triompher de l’ultime aventure. Sinon, ils resteront à jamais prisonniers de Jumanji…
CRITIQUE
AVANT-PREMIERE
- Wonder (Metropolitan FilmExport) Le film est l’adaptation du roman éponyme de RJ Palacio par Stephen Chbosky. On doit au réalisateur Le Monde De Charlie (84.6k).
August Pullman est un petit garçon né avec une malformation du visage qui l’a empêché jusqu’à présent d’aller normalement à l’école. Aujourd’hui, il rentre en CM2 à l’école de son quartier. C’est le début d’une aventure humaine hors du commun. Chacun, dans sa famille, parmi ses nouveaux camarades de classe, et dans la ville tout entière, va être confronté à ses propres limites, à sa générosité de coeur ou à son étroitesse d’esprit. L’aventure extraordinaire d’Auggie finira par unir les gens autour de lui.
CRITIQUE
- Ferdinand (Twentieth Century Fox France) Le film est basé sur le livre pour enfant « The Story of Ferdinand » de Munro Leaf. A la réalisation, on retrouve un spécialiste de l’animation : Carlos Saldanha à qui l’on doit Robots (1.12M), Rio (2.44M), Rio 2 (3.26M), L’Age De Glace (3.05M), L’Age De Glace 2 (6.62M) et L’Age De Glace 3 (7.81M).
Ferdinand est un taureau au grand cœur. Victime de son imposante apparence, il se retrouve malencontreusement capturé et arraché à son village d’origine. Bien déterminé à retrouver sa famille et ses racines, il se lance alors dans une incroyable aventure à travers l’Espagne, accompagné de la plus déjantée des équipes !
CRITIQUE
- La Promesse De L’Aube (Pathé Distribution ~374 copies) Eric Barbier apate le roman éponyme de Romain Gary. Plusieurs écrits de l’écrvain ont été adaptés sur la toile et le meilleur score est actuellement La Vie Devant Soi (1.97M). Quant à Eric Barbier, on lui doit Le Brasier (364.9k), Le Serpent (817k) et Le Dernier Diamant (135.8k).
De son enfance difficile en Pologne en passant par son adolescence sous le soleil de Nice, jusqu’à ses exploits d’aviateur en Afrique pendant la Seconde Guerre mondiale… Romain Gary a vécu une vie extraordinaire. Mais cet acharnement à vivre mille vies, à devenir un grand homme et un écrivain célèbre, c’est à Nina, sa mère, qu’il le doit. C’est l’amour fou de cette mère attachante et excentrique qui fera de lui un des romanciers majeurs du XXème siècle, à la vie pleine de rebondissements, de passions et de mystères. Mais cet amour maternel sans bornes sera aussi son fardeau pour la vie…
CRITIQUE
- The Florida Project (Le Pacte) Nouveau long de Sean Baker après Tangerine (13.5k).
Moonee a 6 ans et un sacré caractère.
Lâchée en toute liberté dans un motel de la banlieue de Disney world, elle y fait les 400 coups avec sa petite bande de gamins insolents.
Ses incartades ne semblent pas trop inquiéter Halley, sa très jeune mère.
En situation précaire comme tous les habitants du motel, celle-ci est en effet trop concentrée sur des plans plus ou moins honnêtes pour assurer leur quotidien…
CRITIQUE
- A Ghost Story (Universal Pictures International France) Nouveau long de David Lovery après Les Amants Du Texas (26.8k) et Peter Et Elliott Le Dragon (743.8k).
Apparaissant sous un drap blanc, le fantôme d’un homme rend visite à sa femme en deuil dans la maison de banlieue qu’ils partageaient encore récemment, pour y découvrir que dans ce nouvel état spectral, le temps n’a plus d’emprise sur lui. Condamné à ne plus être que simple spectateur de la vie qui fut la sienne, avec la femme qu’il aime, et qui toutes deux lui échappent inéluctablement, le fantôme se laisse entraîner dans un voyage à travers le temps et la mémoire, en proie aux ineffables questionnements de l’existence et à son incommensurabilité.
CRITIQUE
- Menina (Urban Distribution) Premier long de Cristina Pinheiro.
Je m’appelle Luisa Palmeira, j’ai dix ans. Ma famille, c’est tous des Portugais. Mais moi, je suis Française, je suis pas comme eux, je fais pas de faute quand je parle.
Ma mère, elle est plus belle que Marilyn Monroe, sauf quand elle met ses lunettes. Mon père, il a une moto rouge et il me laisse gagner au bras de fer. L’autre jour, il m’a dit qu’il allait disparaître. Mais moi, je le crois pas !
- Garde Alternée (Wild Bunch Distribution ~304 copies) Nouveau long d’Alexandra Leclere après Les Sœurs Fâchées (1.45M), Le Prix A Payer (1.36M), Maman (277.6k) et Le Grand Partage (1.17M).
Sandrine, mariée depuis quinze ans, deux enfants, découvre que son mari Jean a une relation extraconjugale. Passé le choc, elle décide de rencontrer sa rivale, Virginie, et lui propose un étrange marché : prendre Jean en garde alternée. Les deux femmes se mettent d’accord et imposent à leur homme ce nouveau mode de vie.
- Le Portrait Interdit (Rezo Films) Un long de Charles De Meaux, réalisateur de Le Pont Du Trieur (1.3k), Shimkent Hotel (2.5k) et Stretch (2.5k).
Au milieu du XVIIIème siècle, le jésuite Jean-Denis Attiret est un des peintres officiels de la Cour impériale de Chine. Il se voit confier la tâche honorifique de peindre le portrait de l’impératrice Ulanara. Cette concubine devenue impératrice à la suite de la mort de la première femme de l’empereur Qian Long aura un destin très particulier. Sorte de figure romantique avant l’heure, il ne restera d’elle que ce portrait à la sensualité énigmatique de Joconde asiatique. Le film raconte ce moment fiévreux où l’impératrice chinoise rencontre le peintre jésuite. Un moment où la relation électrique entre un peintre et son modèle est prise en étau entre les contraintes de la cour (et son étiquette rigide) et les différences culturelles les plus extrêmes.
- Tout Là-Haut (UGC Distribution ~288 copies) Premier long de Serge Hazanavicius.
Au milieu du XVIIIème siècle, le jésuite Jean-Denis Attiret est un des peintres officiels de la Cour impériale de Chine. Il se voit confier la tâche honorifique de peindre le portrait de l’impératrice Ulanara. Cette concubine devenue impératrice à la suite de la mort de la première femme de l’empereur Qian Long aura un destin très particulier. Sorte de figure romantique avant l’heure, il ne restera d’elle que ce portrait à la sensualité énigmatique de Joconde asiatique. Le film raconte ce moment fiévreux où l’impératrice chinoise rencontre le peintre jésuite. Un moment où la relation électrique entre un peintre et son modèle est prise en étau entre les contraintes de la cour (et son étiquette rigide) et les différences culturelles les plus extrêmes.
- Lac Noir (La Vingt-Cinquième Heure) Premier long de Jean Baptiste Germain.
Bruno, la trentaine, remonte les paysages de son enfance à la recherche du Lac noir. Atteint d’une maladie incurable, il est en quête d’une dernière lumière.
- Nuit De Grève (Les Découvertes Du Saint André) Un long de Yoann Jean Charles.
Kim a parcouru plus de 15 000 km depuis la Corée du Nord pour venir en France et déclarer sa flamme à Marie. Alors qu’il n’est plus qu’à quelques kilomètres de chez elle en banlieue Parisienne, il s’enfonce dans des rues désertes et se perd. La nuit est tombée. Il règne un froid d’hiver glacial…
- Tiger Zinda Hai (Aanna Films) Un film du réalisateur indien Ali Abbas Zafar à qui l’on doit Sultan (5.6k).
À la fin de Ek Tha Tiger, Tiger décide de disparaître des radars au profit de sa vie amoureuse. Mais les temps sont durs. Des indiens sont pris en otage en Irak par une organisation terroriste. Personne ne semble à la hauteur de la crise. Mis à part Tiger !
- Velaikkaran (Night Ed Films) Un film du réalisateur indien Mohan Raja.
Arivu et Azhagu se battent contre le gaspillage alimentaire.
Synopsis © Distributeurs & Allociné
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