Critique : The Ones Below

The one below

9.8

Scénario

10.0/10

Réalisation

9.0/10

Acteurs

10.0/10

Bande originale

10.0/10

Les pour

  • Un casting impeccable
  • Des couleurs superbes
  • Un scénario maîtrisé
  • Une mise en scène intelligente

#Twitter : #TheOnesBelow @SEPTIEMEFACTORY

Réalisateur : David Farr

Acteurs : Clémence Poésy, Stephen Campbell Moore, David Morrissey, Laura Birn

Date de sortie : janvier 2017

Durée : 1h27min

Synopsis :

Kate et Justin, un jeune couple londonien, attendent avec bonheur leur premier enfant. Ils se réjouissent de l’arrivée dans l’appartement du dessous, de Jon et Theresa qui est également enceinte. Les jeunes femmes se lient rapidement et organisent un dîner pour que leurs conjoints se rencontrent. Mais au cours de la soirée, un accident terrible se produit. Les deux couples sont entraînés dans une spirale de jalousie, de mensonge, de paranoïa et de terreur.

Pour son premier film David Farr frappe fort et nous livre un excellent thriller qui est un mélange Fenêtre sur cour d’Alfred Hitchcock et Rosemary’s Baby de Roman Polanski.

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The Ones Below prend son temps, pose les bases, nous donne le temps de faire connaissance avec les personnages et leur passé. Au fil et à mesure que le film avance, le réalisateur nous entraîne, doucement, mais surement, dans la paranoïa, les secrets, les manipulations et les mensonges.

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Le scénario est excellent et part d’une idée assez basique (les nuits agitées du bébé, la fatigue des parents, etc) David Farr l’utilise pour lui donner un aspect peu réjouissant, mais au combien excellent. Clémence Poésy est superbe et comme toujours, excellente et investie, Stephen Campbell Moore n’est pas en reste et l’acteur délivre un très grand jeu. Le couple atypique formé par Laura Birn et David Morrissey fait froid dans le dos et le duo l’incarne avec brio.

Du côté de la réalisation, Les couleurs, les musiques et les décors sont très bien choisis et collent parfaitement au film. Et si le rythme peut sembler un poil trop lent,  on se laisse captiver par l’histoire assez rapidement. On termine sur un twist final brillant et qui nous coupe les jambes. Pour un premier film, David Farr s’en sort à merveille et il nous faudra garder ce réalisateur là, à l’œil parce que le talent n’est pas ce qui lui manque.

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