Equalizer: Critique

equializer

7.4

Scénario

6.7/10

Casting

7.0/10

Réalisation

8.0/10

Bande originale

8.0/10

Les pour

  • Un gros divertissement

Twitter : #equializer  @SonyPicturesFr

Titre original : The equalizer

Acteurs :  Denzel Washington, Chloë Grace Moretz, Marton Csokas

Réalisateur : Antoine Fuqua

Date de sortie : 1 octobre 2014 

Durée : 2h11


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A la base adapté d’une série des années 80’s avec Edward Woodward (décédé en 2009) dans le rôle de Robert McCall, et alors qu’Equalizer devait au départ être réalisé par Paul Haggis avec Russell Crowe en tant qu’acteur, c’est finalement Antoine Fuqua (Training Day) qui réalise la version cinématographique avec dans le rôle titre Denzel Washington. Et n’ayant jamais vu ou entendu parler auparavant de cette série apparemment culte, je ne saurais hélas pas comparer la qualité du film vis à vis de celle ci.

C’est donc l’histoire simple mais efficace d’un ex-agent de la CIA défendant la veuve et l’orphelin avec des scènes d’actions plutôt dures ne lésinant pas sur les détailles dans la violence (à noter la scène du tire-bouchon). Bien que très classique dans le traitement de son histoire mais rarement prévisible, cet Equalizer aura de quoi séduire les fans de son acteur vedette,  Denzel Washington, toujours parfait dans le rôle du justicier solitaire sans peurs et sans reproches que rien n’arrête; finalement très proche de son rôle dans Man on Fire (2004) réalisé par Tony Scott.

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Pour le reste du casting il y a Chloe Grace Morretz qui est une actrice que j’aime beaucoup, hélas ici pas très convaincante dans son rôle de prostituée que Robert McCall (Denzel Washington) prend sous son aile… Marton Csokas (Kingdom of Heaven) par contre est très crédible en homme de mains de la pègre russe.

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Au final ce thriller criminel n’est pas exceptionnel mais reste un très bon film avec un Denzel Washington qui endosse encore une fois parfaitement le rôle du héros solitaire archétypal. Antoine Fuqua arrive à créé une véritable tension au sein de son film, aidé par la très bonne partition musicale d’Harry Gregson-Williams qui s’imprègne parfaitement au récit et surtout à une scène d’action finale haletante.

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