Dans les bacs depuis octobre dernier… Je suis passé à côté du groupe Falaises pendant trop longtemps !
Fort heureusement, on a eu la bonne idée de m’envoyer leur ep « They are here » qu’ils peaufinaient depuis des années maintenant et c’est donc non sans impatience (comme à chaque réception) que je me suis jeté dessus).
Ep très agréable et aux sonorités dansantes , ce dernier s’ouvre avec « Boy » sur lequel la jeune Alice (chanteuse du groupe) parle d’un amour très fort, d’un amour qu’elle semble voir partout et dont elle ne sait se passer sauf que…
Très bon choix d’ouverture d’album puisque ce titre donne directement le ton en annonçant un mix entré électro et rock.
Un style électro que l’on retrouve sur la piste suivante « Inherent vice » à la musicalité très réussie. Le refrain est entraînant et a ce quelque chose qui crie « live » instantanément.
La piste suivante est « Daylight dreamer » qui marque essentiellement par ses guitares. Piste peut-être la moins efficace de cet Ep, c’est un bon ajout à l’album, mais sans doute le titre que l’on retiendra le moins.
Tout comme « Twilight Splendor » qui arrive juste derrière avec son côté hypnotisant, certes réussi, mais un cran en dessous des autres pistes de l’album.
« They are here » arrive rapidement ensuite et propose à nouveau ce son que l’on a aimé au début de l’Ep et forcément l’énergie perdue un peu avec les deux pistes précédentes revient très rapidement. Ce single représente assez bien ce qui fonctionne dans cet ep et devrait fonctionner par la suite.
Un peu pour brouiller les pistes et alors que l’énergie était revenue au sommet, « Hush » arrive avec un côté plus calme sur les couplets et des refrains énergiques. Un des singles proposés en amont de la sortie de l’album, « Hush » est bon avec un côté roots, « débutant » presque là où les autres pistes semblent plus travaillées.
Enfin l’opus se termine sur « Drinking hell« , une balade qui, à l’image de la piste précédente, a un côté brut, à nouveau loin d’être désagréable et ce surtout quand en fin de chansons, le tout e,’énerve un peu et décolle vraiment… même si on lui préférera les titres tels que « Boy » qui revient en version longue pour bien clôturer l’album.
Soyez le premier à commenter